Comme me disait un ami, hier, sur Facebook :
– Depuis que je te vois à la télé, je ne t’ai jamais connu aussi hétéro, il t’arrive quoi ?

Mais rien, andouille. On peut être gay et aimer séduire les femmes. Surtout, entouré de nanas, je suis comme un poisson dans l’eau…ou comme un coq en pâte. Et quand en plus elles m’écoutent, sur un sujet complexe qui me transporte (l’Open Data) (Je crois ne vous l’avoir jamais dit mais j’ai des passions un peu particulières, dans la vie…et oui, je peux réellement passer des heures à lire des tableaux de chiffres ou à déchiffrer des cartes. Suis un fou d’atlas en tous genres. Ma préférence va pour les grands bilans mondiaux, chaque année, pays par pays, avec statistiques, pourcentages et chiffres du PIB en tableaux comparatifs), je peux devenir lyrique.

Toujours autant de mal avec l’oreillette qui, vous ne l’entendrez pas ci-dessous, m’a grisouillé dans le tympan plusieurs fois en quatre minutes, causant un léger sursaut interne qu’on ne voit pas à l’image.

La déclaration d’amour à Audrey Pulvar, avec geste tendre et tout et tout est à la fin de cette deuxième chronique au Grand 8, à 4.30.

Juste avant, un mot sur Géraldine et Loïc Le Meur dont Le Web démarre à Paris la semaine prochaine. Sans Loïc, je ne serais pas là où je suis, aujourd’hui. Il n’a rien fait directement pour moi. Indirectement, par contre…Génération Le Meur.
Un immense merci à Marion de Lasteyrie…